Tests d’échantillons divisés

Pour les tests de dépistage de drogues et d’alcool réglementés par le DOT, les échantillons divisés sont une pratique courante. Un test de prélèvement fractionné se déroule à peu près de la même manière que tout autre test d’urine. Cependant, l’urine recueillie par le conducteur est divisée en deux échantillons. Si le premier échantillon testé révèle un résultat positif, le deuxième échantillon peut être testé pour confirmer ou rejeter les résultats du premier test.

Contexte des tests d’échantillons fractionnés

Les tests d’échantillons fractionnés protègent les conducteurs et les autres employés contre les faux positifs. Cette procédure d’essai est devenue obligatoire pour l’industrie du transport en 1991, lorsque la Loi Omnibus sur l’essai des employés du transport (OTETA) a été adoptée. Les dispositions sur les échantillons divisés d’OTETA visaient à protéger les conducteurs contre les équipements de laboratoire défectueux, les erreurs de laboratoire et les faux positifs provoqués par la présence de médicaments ou d’aliments légitimes. En vertu de l’OTETA, seul l’employé peut demander un test du deuxième échantillon. Le DOT, l’employeur ou l’agent d’examen médical (BRM) n’a pas le pouvoir d’ordonner l’analyse du deuxième échantillon.

Avantages des tests de prélèvement fractionnés

Les tests de prélèvement fractionnés sont bénéfiques pour les employés et les employeurs. Les employés ont l’esprit tranquille en sachant qu’une confusion de laboratoire ou un dysfonctionnement de l’équipement ne leur coûtera pas leur travail et leur bonne réputation. Les employeurs bénéficient également de tests de dépistage de drogues et d’alcool fractionnés. Ils peuvent être assurés de savoir que l’employé ne peut pas fournir un échantillon d’urine artificiellement propre pour un deuxième test — seule l’urine qui a déjà été collectée sera testée.

Paiement pour les échantillons fractionnés

Une fois qu’un employé a été informé par le BRM que le premier échantillon était positif, il dispose de 72 heures pour demander un test du deuxième échantillon. Si l’employé ne peut pas payer pour le deuxième test, la FMCSA exige que l’employeur paie pour cela afin que le test puisse être effectué en temps opportun. Par la suite, l’employeur peut demander un remboursement à l’employé conformément à toute politique de négociation collective applicable ou politique écrite de l’entreprise.

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